pour imaginer demain
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) affecte plus de 10 % des femmes dans le monde, entraînant des anomalies cardio-métaboliques et psychologiques. Par conséquent, le SOPK représente un véritable problème majeur de santé publique.
D’ailleurs, étant donné que l'origine du SOPK reste largement inconnue, il n'existe aucun traitement curatif, laissant les options de prise en charge des patientes basée uniquement sur les traitements symptomatiques.
Ce projet vise à comprendre les mécanismes cellulaires et moléculaires sous-jacent le SOPK. Au-delà de l’apport physiopathologique, ce projet explorera de nouvelles options thérapeutiques neuroendocriniennes au niveau préclinique pour traiter les dysfonctionnements reproductifs et métaboliques associés au syndrome.
L’aide de la Fondation de l’Université de Lille permettra de co-financer un équipement de pointe destiné à la visualisation 3D des organes entiers permettant une analyse précise des réseaux cellulaires affectées par ce syndrome.
Porteur du projet : Dr. Paolo Giacobini – Ph.D, chercheur et responsable de projets chez l'INSERM
Date de lancement : Septembre 2024
Contribution de la Fondation : 25.000 €